Le m-commerce change t’il notre manière d’acheter ?

Cela fait déjà plusieurs années qu’on nous annonce l’avènement du m-commerce qui changera nos habitudes d’achat. Il se pourrait bien que le moment soit effectivement arrivé.

Google vient en effet d’annoncer un changement dans ses algorithmes de classement des sites. Désormais les sites dont le format n’est pas adapté au mobile (responsive design) seront pénalisés dans leur référencement.

C’est une bonne nouvelles pour tous les adeptes du shopping sur tablettes et smartphones car les vendeurs vont devoir s’adapter très rapidement pour survivre ! Et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Car la croissance du m-commerce est déjà vertigineuse.

 

Qui achète sur tablette et smartphone ?

Les achats sur smartphone et tablette représente aujourd’hui 34% de l’ensemble des ventes en ligne et devrait atteindre 40% des ventes d’ici fin 2016. Aux Etats-Unis 53%de ses ventes mobiles sont faites sur un smartphone, le reste sur tablette. Seul le Japon fait mieux sur smartphone que les Etats-Unis avec 90% des achats m-commerce qui passe par le téléphone.

article m-commerce Bien que la France ait un peu de retard avec seulement 24% des achats en ligne qui passe par le mobile, on compte aujourd’hui 6M d’acheteurs. Et selon le dernier baromètre de la Mobile Marketing Association, plus de 50% des acheteurs mobiles en France achètent au moins 1 fois par semaine.

Comme vous, les principaux acheteurs sur mobile sont les jeunes. Presque 40% des m-acheteurs ont entre 16 et 24 ans. Et plus de la moitié d’entre eux eux utilisent leurs téléphones et tablettes pour acheter tous les mois.

 

Les chantiers du m-commerce

En 2011 et 2012 combiné, les fonds de capital risques ont dépensé 700€ millions dans les initiatives de m-commerce. En 2013, ce chiffre monte à 1 milliards d’euros et nous sommes encore loin du compte. A la fin de 2015, 7 milliards d’euros ont servis à financé les projets et start-up du m-commerce.

Et si Pinterest a concentré une part importante de ses investissements pour développer ses “Pins achetables”, des centaines de start-up veulent aujourd’hui s’emparer d’une part du gateau et ne lésine pas à faire du m-commerce leur principal canal de distribution.

La jeune marque française RAD dont les sweats et t-shirts ornés d’inscription sont très en vogue chez les jeunes en a fait sa priorité. Le trafic du site provient à 60% du mobile.

En fait, le m-commerce grossit aujourd’hui si rapidement que certains commencent à penser qu’il représentera la moitié du e-commerce en 2018. La banque d’affaire Goldman Sachs a récemment affirmé que $630 milliards seraient dépensé en achats sur tablettes et smartphones d’ici 2020.

Si ces chiffres peuvent paraitre légèrement optimiste, il est vrai que le mobile est désormais au coeur de la stratégie des vendeurs et se positionne comme un Véritable canal de vente. Il lui faut encore cependant, comme les autres canaux suivre l’évolution des comportements des acheteurs.

 

Pourquoi faisons nous notre shopping sur mobile ?

Le monde en 2016 est un monde de l’immédiat. Nous voulons tout et tout de suite. Le smartphone offre cette flexibilité de pouvoir acheter ce que vous voulez au moment ou vous le voulez. Ces dernières années, la croissance des services à la demande a été exponentielle avec des succès mondiaux comme Uber dans le transport, Netflix et Amazon pour les loisirs, ou encore Foodora dans la livraison de repas à domicile.

Cette tendance du “à la demande” explique pour une large part l’habitude qu’on prit les consommateurs à payer pour un service directement sur leur téléphone. Que ce soit pour Uber, Candy Crush ou acheter des vêtements sur l’application d’une marque de prêt-à-porter, nous sommes aujourd’hui habitué au confort de l’immédiat  qui nous apparait désormais comme naturel.

Et puisque nous sommes désormais capable de regarder nos emails, et parcourir les réseaux sociaux à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, nous recevons aussi des informations sur des ventes flash, des réductions, des promotions spéciales que les vendeurs nous font miroiter. La peur de manquer la bonne occasion agit comme une puissante motivation et acheter sur notre téléphone nous permet de nous libérer de cette crainte.

La peur de manquer une opportunité existe également dans un second sens. Beaucoup utilise le mobile pour s’assurer que le prix dans un magasin “en dur” est bien le même que celui qui est affiché en ligne. Car pourquoi dépenser plus pour un produit que l’on pourrait trouver à moitié prix sur Amazon ?

Il est donc évident, que les sites d’e-commerce qui n’ont pas encore bâtit d’architecture adapté au mobile (responsive design) vont avoir de plus en plus de problème. Il reste encore du temps mais soyons prévenu que le présent et l’avenir du e-commerce c’est le mobile. Alors préparez vous dès aujourd’hui !

Quelle robe pour ma morphologie ?

Comme toutes les femmes, il vous arrive de rêver devant un modèle de robe et de vous dire tout simplement que vous aimeriez bien l’avoir dans votre placard. Enthousiaste à l’idée de la porter, vous hésitez car vous ne savez pas si cette robe est faite pour vous. Que votre silhouette soit androgyne, ronde ou pyramidale, il existe un modèle de robe qui sublimera votre silhouette. Car quelques règles de bon sens suffisent pour être bien dans ses robes..

 

Quelle robe choisir quand on est petite ? 

L’avantage : la mode est de votre côté. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un œil aux portants de nos boutiques préférées qui regorgent de mini-robes difficilement praticables quand on fait plus d’1 m 65.

morpho petite

Les robes à privilégier : les robes courtes, ou du moins arrivant au-dessus du genou. Boule, patineuse, mini, trapèze : toutes les formes sont envisageables avec une taille de guêpe. Si on souhaite camoufler quelques rondeurs, on opte tout simplement pour un modèle droit, ni trop ample, ni trop moulant, qu’on prend bien soin d’accessoiriser d’une ceinture et de jolis souliers à talons, même petits.

Les robes à éviter : les robes longues, fluides et bohèmes, qui ne feront que vous rétrécir un peu plus. Seule parade envisageable si vous tenez vraiment à en porter : se percher sur des sandales à plateformes qui vous feront gagner une petite dizaine de centimètres.

 

Quelle robe choisir quand on a des formes ? 

L’avantage : des formes féminines que la robe parvient à sublimer comme aucune autre pièce de votre garde-robe.

femme ronde

Les robes à privilégier : les robes droites, trapèze ou encore les robes longues sauront mettre votre silhouette en valeur. De façon générale, on privilégie un modèle qui arrive au-dessous des genoux, pourvu de petites manches et d’un décolleté sophistiqué. Les robes portefeuille offrent ainsi un bon compromis entre exigences de morphologies, élégance et confort. On évite de préférence les matières synthétiques trop grossières pour des textures naturelles à base de soie, de coton ou encore de lin, plus aériennes.

Les robes à éviter : les modèles trop moulants comme les robes “tube” ou les robes “bodycon” ne seront pas les plus confortables à porter tandis que les robes boules offriront un effet peu flatteur. On vous aura prévenu.

 

Quelle robe choisir quand on est grande ? 

L’avantage : avec votre taille de mannequin, n’importe quelle robe fait de vous une vestale impériale ou une bombe hollywoodienne. C’est pénible pour nous, incommensurablement cool pour vous.

morpho grande

Les robes à privilégier : tout dépend de l’effet recherché. Pour une allure décontractée, on opte pour une robe t-shirt, une robe portefeuille ou encore une robe longue un peu baba-cool. Au contraire, si vous voulez sortir le grand jeu, on opte pour une petite robe de cocktail colorée, une robe dos-nu ou carrément une robe fendue.

Les robes à éviter : honnêtement, on a cherché et on n’a (vraiment) pas trouvé.

 

Quelle robe choisir quand on a une morphologie androgyne ou en H ?

La femme androgyne a généralement les épaules et les hanches dans la même largeur. Cependant elle manque de taille. Il faut trouver des robes qui vont creuser la taille sans l’élargir pour la féminiser. Beaucoup de femme lui vont car c’est une femme longiligne.

robe andro

Les robes à privilégier : celles qui viendront adoucir la silhouette sans pour autant paraître déguiser. On peut miser sur une robe bodycon à la Roland Mouret ou une robe longue, le tout étant de trouver le bon équilibre entre allure sporty et féminité. Si les épaules sont trop développées, on privilégie les modèles à manches ou bretelles larges qui viendront atténuer l’effet nageuse soviétique. Les robes dos-nu sont également les bienvenues en ce qu’elle apporte un peu de sexyness à ces physiques androgynes.

Les robes à éviter : si vous avez des cuisses de footballeuse, autant vous dire que la robe trop courte ne sera pas des plus saillantes. Toutefois, libre à vous d’exhiber avec fierté vos jambes affûtées, vous l’avez bien mérité.

La veste en jean : l’incontournable de l’été

En ce moment, les beaux jours sont à l’horizon : les températures sont en hausse, le soleil fait son retour. Il vous faut alors de quoi redonner un coup de fouet à votre look pour le printemps. Et si on vous dit que vous pouvez être à la pointe du style cette saison. Comment ? En ressortant la pièce idéale : LA VESTE EN JEAN !

« Quel temps fait-il aujourd’hui ? » C’est la première question que vous vous posez chaque matin. C’est évident car la réponse va changer tout le cours de votre journée…On la sort, on la revendique et on en fait une pièce maitresse de sa garde-robe.

 

Le + de la saison : cette année, la tendance est au demim personnalisé ! Inscriptions, partchs, badges et illustrations, n’hésitez pas à shopper ou à donner un coups de pep’s à votre veste préférée !

On la sort, on la revendique et on en fait une pièce maitresse de sa garde-robe.

Le + de la saison : cette année, la tendance est au demim personnalisé ! Inscriptions, partchs, badges et illustrations, n’hésitez pas à shopper ou à donner un coups de pep’s à votre veste préférée

Dans le dressing d’une femme de pouvoir

Se distinguer dans la marée grise des costumes d’homme plutôt que de s’y fondre, valoriser sa féminité plutôt que la masquer sous des uniformes passe-partout…  Depuis Jeanne d’Arc fondue dans son armure masculine et Marie-Antoinette affichant une opulence vestimentaire plus élaborée que toute reine de France avant elle, le look des femmes de pouvoir véhicule un message.

Pour Michelle Obama, pas de doute possible : « Je porte ce que j’aime, c’est ça qui rend confortable et belle.  ». Depuis 20 ans, les codes vestimentaires des femmes de pouvoir ont gagné en souplesse. De plus en plus de femmes s’affranchissent des contraintes du tailleur strict ou du costume pantalon de leurs aînées, obligées de gommer tout signe de féminité pour s’imposer dans des univers masculin.

Aujourd’hui on observe davantage de liberté avec des robes, des talons, des couleurs. Paradoxalement, la gestion de l’allure se professionnalise et rien n’est laissé au hasard, en commençant par le visage, la façon de se coiffer et de se maquiller…

Et chose intéressante, plus les postes à responsabilité se féminisent, plus la businesswoman inspire les créateurs. Exit l’uniforme passe-partout : on sait désormais conjuguer crédibilité et ultra-féminité. Le vestiaire de la femme d’affaires devient un nouveau langage du pouvoir.

 

Ces femmes qui manient le power dressing à la perfection

 

VICTORIA BECKHAM

 

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Avec un style beaucoup plus casual aujourd’hui, Victoria Beckham est devenue une icône de mode. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a réussi à imposer son style avec le succès de sa marque éponyme.  La diva affectionne les coupes minimalistes pour un look subtil et légèrement androgyne. Elle apprécie cependant la nouveauté et la francheur avec de temps à autre, des robes over fittés. On ne la voit que rarement sans ses talons de 15 centimètres qui lui ont permis d’assoir son autorité dans l’industrie de la mode

 

 

MICHELLE OBAMA

article 2

Michelle Obama est l’incarnation de ce que nos amis américains appellent le « Power Dressing ». Elle a su faire de ses looks un accessoire de pouvoir et ses tenues sont abondamment commentées dans la presse US.  Michelle Obama durant ses 8 années en tant que première dame des Etats-Unis a su imposer son style.Elle sait que les couleurs vives possèdent un impact immédiat sur le public ! Il est donc fréquent de la voir porter des robes structurées, aux couleurs vibrantes et aux imprimés texturés ! Ce style lui donne assurément un air féminin et lui permet de se distinguer du haut de ses fonctions.

 

ANGELINA JOLIE

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Entre Versace et Gerard Darel, Mrs Jolie-Pitt sait pertinemment comment s’approprier les pièces de designers et leur donner le power dressing ! Qu’elle se rende à une conférence politique ou sur un tapis rouge, elle reste féminine en tailleur et pantalon et privilégie les couleurs neutres comme le bleu ou le noir.

 

EMMA WATSON

article 6

L’ambassadrice d’UN Goodwill traverse sans efforts les feux des projecteurs grâce à sa palette de couleurs monochrome favorite et ses choix de tenues minimalistes. Elle a rapidement évolué en tant qu’icône du power dressing, portant des chemisiers amples et ajustés, des pantalons pincés à la taille ainsi qu’un tee-shirt blanc classique et des escarpins à bout pointu !

 

 

 

LE POWER DRESSING : UN LANGAGE DE POUVOIR

« Un habit, c’est une idée qui flotte autour d’un homme », écrivait au XIXe siècle le célèbre Chevreuil, l’un des meilleurs tailleurs de Paris. Aujourd’hui, il lui faudrait préciser : « C’est aussi une signature qui révèle l’étoffe d’une femme. » Les créateurs de mode semblent l’avoir bien compris, tant leurs propositions s’adressent clairement cette saison à celles qui détiennent le pouvoir.

Aujourd’hui, la mode est un langage de pouvoir. Plus nombreuses aux postes à responsabilité, plus maîtresses de leur pouvoir d’achat et aussi plus décomplexées, les businesswomen représentent (enfin) une source d’inspiration pour les marques de mode, devenues des alliées idéales pour mieux asseoir – ou conquérir – leur statut. Désormais, mettre en valeur sa féminité n’est plus un aveu de faiblesse. Les femmes sont légitimes, ce n’est plus un sujet. Aujourd’hui, arrivées à certains postes, elles peuvent exprimer leurs goûts et leur personnalité à travers leurs tenue. Cette faculté d’expression, c’est précisément un langage du pouvoir. »